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Mes Musiciens Préférés

L’admiration pour les bassistes est un hommage à la diversité et à l’innovation dans le monde de la basse.
Chacun a marqué l’histoire de la musique à sa manière, en repoussant les limites de l’instrument et en redéfinissant son rôle dans divers genres musicaux.

Tony Levin, avec son jeu polyvalent et son utilisation novatrice de la technique de « fingertapping », a apporté une dimension unique à des groupes tels que King Crimson et Peter Gabriel.

Les Claypool, quant à lui, est célèbre pour sa virtuosité et son style de jeu excentrique, notamment au sein du groupe Primus, où il mélange le funk, le metal et le rock progressif de manière inimitable.

Mick Karn a laissé sa marque dans le monde de la new wave et du post-punk avec son jeu expressif et expérimental au sein de Japan.

Chris Squire, bassiste emblématique du groupe Yes, a révolutionné le rock progressif avec ses lignes de basse complexes et mélodiques, devenant une source d’inspiration pour de nombreux musiciens.

Paul McCartney, légende vivante des Beatles, a contribué à façonner le paysage musical moderne avec son jeu mélodique et inventif, repoussant constamment les frontières de la basse dans la pop et le rock.

Ces bassistes, ainsi que d’autres grands noms de l’histoire de la basse, suscitent l’admiration des amateurs pour leur talent, leur créativité et leur influence durable sur la musique.

Leur héritage continue d’inspirer de nouvelles générations de musiciens à explorer les possibilités infinies de la basse et à repousser les limites de l’expression musicale.

Tony Levin

Musicien prolifique depuis les années 1970, Tony Levin a joué sur plus de 500 albums, dont ceux de Peter Gabriel depuis le début de sa carrière solo, King Crimson, Liquid Tension Experiment, Alice Cooper, John Lennon, Yoko Ono, Paula Cole, Stevie Nicks, Pink Floyd sur A Momentary Lapse of Reason, Paul Simon, Dire Straits, Lou Reed, David Bowie, Anderson Bruford Wakeman Howe, Yes, Bryan Ferry, Laurie Anderson et la française Catherine Lara pour son meilleur album « Geronimo ».

Tony Levin a contribué à populariser le Chapman Stick et la contrebasse NS Design (oui !!! la même que la mienne !!!).

Il a également créé des « doigts de funk », des baguettes de batterie modifiées attachées aux doigts utilisées pour frapper les cordes de basse (ce qui ressemble à une technique de jeu de basse de style slap).

Voir Tony Levin sur scène est un spectacle à lui tout seul, il change d’instruments, de façon de les jouer, il danse et chante. Il est impressionnant.

Son premier album solo est une pure merveille, autant musicalement que visuellement, un vrai petit carnet de voyage : World Diary avec Bill Bruford, Manu Katché, Jerry Marotta, L. Shankar, Levon Minassian.

Tony Levin est aussi photographe. Il prend des photos lors des concerts et dans les coulisses, ce qui nous permet de voir des images inédites concernant des spectacles ou des musiciens.

Son site internet : https://tonylevin.com/

Son Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tony_Levin

Tony Levin avec sa contrebasse NS Design (la même que la mienne) lors de la tournée Growing Up Live de Peter Gabriel (qui marche tête en bas en arrière plan)
Tony Levin avec son stick Chapman
Tony Levin utilisant les Funk Stick de son invention lors d’un concert de Peter Gabriel

King Crimson
Elephant Talk

Tony Levin – Stick Chapman

Bill Bruford – Percussions

Adrian Belew – Guitare et chant

Robert Fripp – Guitare

Peter Gabriel
Don’t Give Up

Tony Levin – Basse 5 cordes

Peter Gabriel et Paula Cole – Chants

David Rhodes – Guitare

Manu Katche – Percussions

Lakshminarayana Shankar – violon

Levon Minassian – doudouk

Tony Levin Band
Pieces of the sun

Tony Levin – Contrebasse NS Design + Basse 4 cordes avec Funk Sticks

Jerry Marotta – Percussions

Larry Fast et Pete Levin – Claviers

Jesse Gress – Guitare

Les Claypool

Les Claypool avec sa contrebasse NS Design (la même que la mienne)

Les Claypool utilise des basses fabriquées main par Carl Thompson. On peut les voir et les acheter sur le site de Carl Thompson… Si on en a les moyens…

C’est mon fils qui me fit découvrir ce bassiste de génie qui oeuvrait avec Sean Lennon.

Un jeu bien particulier, beaucoup d’humour, une présence scénique à la limite du burlesque et énormément de talent, bref ! Tout ce que j’aime.

Pour la petite histoire, en 1986, Les Claypool se présenta aux auditions organisées par Metallica à la suite de la mort de leur bassiste Cliff Burton, mais il fut refusé, jugé trop bon par James Hetfield, ce que Les Claypool prit avec humour comme de la politesse quant à son jeu très particulier qui ne s’inscrivait pas dans le registre de Metallica.

Les Claypool est bien plus qu’un simple bassiste ; il est un véritable virtuose de l’instrument, un compositeur innovant et un performer excentrique. Connu pour son style de jeu unique et sa capacité à fusionner le funk, le rock, le metal et le jazz, Claypool est une figure emblématique de la scène musicale depuis des décennies.

Sa carrière a décollé avec le groupe Primus, où il a élevé la basse au rang d’instrument principal. Avec des lignes de basse incroyablement complexes, des rythmes syncopés et des sonorités expérimentales, Claypool a créé un son distinctif et reconnaissable qui a captivé des millions de fans à travers le monde.

En plus de son travail avec Primus, Les Claypool a également exploré de nombreux projets parallèles, notamment avec Oysterhead (avec Stewart Copeland de Police), The Claypool Lennon Delirium (avec Sean Lennon) et Colonel Les Claypool’s Fearless Flying Frog Brigade. Chaque projet révèle une facette différente de son génie musical, démontrant sa polyvalence et sa capacité à repousser les frontières de la musique.

En tant que bassiste, Les Claypool inspire les amateurs et les musiciens du monde entier à repousser les limites de leur instrument et à explorer de nouveaux territoires musicaux. Sa créativité sans bornes, son jeu technique et son charisme sur scène en font une véritable légende de la basse, dont l’héritage perdurera bien au-delà de sa carrière active.

Colonel Les Claypool’s Fearless Flying Frog Brigade
Thela Hun Ginjeet

Thela Hun Ginjeet est une reprise de King Crimson (période Tony Levin).
La version de Les Claypool est plus longue, plus dynamique et bien plus farfelue.

Les Claypool – basse, chant
Eenor – guitare
Jeff Chimenti – claviers
Jay Lane – batterie
Skerik – saxophone

The Claypool Lennon Delirium
The Court of the Crimson King

Encore une reprise de King Crimson, mais cette fois de leur 1er album.

Les Claypool – Basse et chants

Sean Lennon – Guitare et chants

Les Claypool’s Duo De Twang
Stayin’ Alive

Cette fois-ci, une reprise des… BeeGees !

Les Claypool – Basse et chant

Bryan Kehoe – Guitare

Les Claypool utilise ici un instrument unique : le whamola. Si vous voulez fabriquer le votre, c’est ici : Make a Whamola

Les Claypool – whamola
Eenor – guitare
Jeff Chimenti – claviers
Jay Lane – batterie

Mick Karn

Mick Karn était un bassiste de renom, principalement connu pour son travail avec le groupe de new wave japonais, Japan, dans les années 1970 et 1980.

Il était célèbre pour sa technique distinctive à la basse fretless, ainsi que pour sa collaboration avec de nombreux autres artistes après la dissolution de Japan tels que Kate Bush, Dalis Car et surtout David Sylvian.

Mike Karn était également un talentueux multi-instrumentiste, jouant du saxophone, de la clarinette, de la guitare et d’autres instruments.

Ses albums solos sont de petites perles.

Tristement, il est décédé dans la misère en 2011 des suites d’un cancer, laissant derrière lui un héritage musical impressionnant.

Dalis Car
Artemis

Peu de temps après que Murphy et Karn eurent quitté leurs groupes précédents (Bauhaus et Japan, respectivement), ils enregistrent l’album The Waking Hour que j’ai acheté uniquement pour la beauté de la pochette, je ne connaissais pas encore sa beauté intérieure.

Mick Karn – basse, piano, guitare, saxophone
Peter Murphy – chants
Paul Vincent Lawford – batterie

Mick Karn
Buoy

Avec David Sylvian au chant.

Japan
Canton

Extrait de l’album Tin Drum

Mick Karn – Basse
David Sylvian – Chan
Steve Jansen – Batterie
Richard Barbiery – Claviers